Listedes 3 courses à réclamer d'aujourd'hui. Les courses à réclamer sont des courses dans lesquelles tous les partants peuvent être achetés aux enchères. Le propriétaire fixe un prix de réserve, appelé "Taux De Réclamation" (TDR). En dessous de ce prix, le
Et hop, on remonte dans le temps pour découvrir 10 chevaux qui ont marqué l’histoire équestre ! Certains ont marqué le CSO, les autres étaient sur les champs de bataille, ou encore sur les champs de courses. Mais tous ont marqué leur cavalier puis l’histoire. 10. Vizir, l’un des chevaux qui ont marqué l’histoire avec Napoléon Source Sesamevoila pour Commons Wikimedia C’est un étalon arabe palomino offert par le sultan de Turquie en 1805 à Napoléon. Cet étalon ira avec son maître en exil sur l’île de Sainte Hélène. Il mourra en 1826 soit 5 ans après son cavalier. Comme tous les chevaux impériaux il était marqué sur la cuisse gauche par le N couronné. Il a été empaillé et est aujourd’hui exposé au musée des armées aux Invalides à Paris. 9. Burmese, la jument de la reine d’Angleterre Source Michael Evans pour Commons Wikimedia Burnese 1962–1990 naquit à l’élevage de la Gendarmerie Royale du Canada. Burmese rejoignit les chevaux utilisés pour les cours d’équitation des nouveaux membres de la GRC avant d’intégrer l’équipe du prestigieux Carrousel de la gendarmerie royale. Elle fut offerte à la Reine Elisabeth II qui la monta pendant 18 années de suite de 1969 à 1986. Après la mise à la retraite de Burmesse, la Reine continua en attelage. Après avoir pris sa retraite, Burmese coula des jours tranquilles dans un pâturage au château Windsor, où la reine pouvait admirer sa monture préférée en prenant le thé. Elle fait partie des chevaux qui ont marqué l’histoire de l’Angleterre. 8. Bucéphale, le cheval d’Alexandre le Grand Selon la tradition Grecque, Bucéphale descend d’une des juments de Diomède. Un marchand Thessalien, un certain Philonicos, le montre à Philippe II de Macédoine, le père d’Alexandre le Grand, mais le cheval se montre si rétif que Philippe renonce à l’acheter. Au moment où il ordonne qu’on emporte le cheval, Alexandre, fils de Philippe, exprime ses regrets. Son père conclut donc l’achat à condition que le cheval soit dompté par Alexandre, faute de quoi ce dernier devra payer lui-même sa monture. Alexandre remarque que le cheval a peur de son ombre et le place donc face au soleil le temps de l’apprivoiser, ce qui s’avère concluant. Après ça, Bucéphale n’accepte d’être monté que par Alexandre. Il fait clairement partie des chevaux qui ont marqué l’histoire, c’est même le premier dans l’histoire ! 7. Albe, le cheval blanc d’Henri IV Source Jean-Baptiste Mauzaisse 1784–1844 pour Commons Wikimedia Tout le monde connait la blague “Quelle et la couleur du cheval blanc d’Henri IV ?”. En réalité, Albe n’état pas blanc mais noir ! Pourtant on voit souvent le souverain monté sur un magnifique cheval blanc. la raison est simple “Albe” à l’époque signifiant Blanc, et les chevaux blancs étaient prisés des riches seigneurs. Henri IV lui aurait donné ce nom car il aurait souhaité qu’il soit blanc. 6. Comanche, survivant de la bataille de Little Bighorn Source John C. H. Grabill 1849–1903 pour Commons Wikimedia En 1876, le célèbre général Custer attaque un champ de Cheyennes et Sioux près de la rivière Little Bighorn. La bataille fut rude, et la cavalerie Américaine perdit. Comanche, un hongre bai, fut le seul survivant, . Grièvement blessé, il se rétablit et devint le cheval le plus vénéré pour son courage. Il mourut à 29 ans et est aujourd’hui exposé à l’université du Kansas. 5. Marengo, la préférence de Napoléon Source Sotheby’s pour Commons Wikimedia Marengo était un pur sang Arabe blanc, cheval préféré de Napoléon. Il fut baptisé comme ça en référence à l’une des nombreuses batailles remportées avec l’Empereur. Marengo porta également ce dernier lors de sa célèbre retraite à Moscou. Le cheval fut tout de même blessé 8 fois mais s’en est toujours remis. Son squelette a été exposé au Musée National de l’Armée de Sandhurst. 4. Hickstead, la légende partie trop tôt Source 222fjb pour Commons Wikimedia Cet petit étalon 1m60, KWPN, a été le fidèle partenaire d’Eric Lamaze. Si au départ personne ne croyait en lui, Eric Lamaze décide de donner sa chance à l’étalon de 7 ans. Après deux médailles lors des Jeux panaméricains de 2007, Éric Lamaze et Hickstead remportent leur plus belle victoire la médaille d’or en individuel lors des Jeux Olympiquesde Pékin en 2008. Le coupla va enchainer les victoires internationales. Il a gagné plus de médailles et de Grands Prix qu’aucun autre cheval en sept ans de carrière notamment les Grands Prix de La Baule, Rome, ou ses 4 victoires dans la Coupe de la Reine Elizabeth II lors des Masters de Spruce Meadows…. Il se fait remarquer au deuxième obstacle lors du barrage de La Baule en 2011 en sautant le chandelier, remportant le derby en même temps. Le 6 novembre 2011, lors de la 4e étape de la Coupe du monde à Vérone Italie, Hickstead est victime d’une rupture aortique. Il s’écroule au moment de sortir de la piste, au terme d’un parcours à 4 points. Eric Lamaze continue aujourd’hui sa carrière, sans oublier son fidèle étalon qui lui a offert ses plus belles victoires. 3. Ourasi, le roi fainéant Source Arnaudettes pour Commons Wikimedia C’est un étalon trotteur Français mort à 33 ans, quadruple vainqueur du Prix d’Amérique. Pourtant, le poulain semblait lourdaud et fainéant pour ses éleveurs. Son surnom lui vient de son faible intérêt pour l’entrainement, mais surtout pour le fait qu’il ne s’activait sur les hippodromes que lors des 100 derniers mètres. Pourtant, c’est un champion incontestable qui a fait la joie et la fortune de ses propriétaires, drivers et entraîneurs. 2. Seabiscuit Source Seabiscuit Heritage Foundation pour Commons Wikimedia Pur-sang Anglais des années 30, rien ne le présageait à devenir un grand champion. Sa petite taille, ses mauvais aplombs et son apathie n’encourageait pas son entraîneur à le faire courir sur de grands hippodromes. Mais il fut racheté plus tard par un riche investisseur qui le confie à un entraineur peu connu, Tom Smith. En 3 ans, il gagna 11 de ses 15 courses, notamment dans des handicaps où il devait porter bien plus de charge que ses adversaires. Mais il restait dans l’ombre de War Admiral, champion de l’époque. Il gagna son match contre ce géant des courses en prenant un départ fulgurant ! Ainsi il le coiffa de 4 longueurs et fut sacré cheval de l’année. Plusieurs statuts à son effigie sont exposées dans des hippodromes Américains où il est toujours très connu, et un film a été tourné en 2003 Pur-sang, la légende de Seabiscuit. Il fait clairement partie de ces chevaux qui ont marqué l’histoire du galop. 1. Jappeloup Source Commons Wikimedia Jappeloup de Luze de son vrai nom était un selle Français, monté durant de nombreuses années par Pierre Durand. Est-ce bien utile de le rappeler ? Il lui permit de gagner de nombreux titres en CSO champion Olympique, champion d’Europe, champion de France… Pourtant, il ne mesurait qu’1m58 au garrot, ce qui est peu commun pour un cheval d’un, tel niveau. Il arrêtera la compétition en Septembre 1991. A cette occasion, un pot d’honneur fut organisé au pied de la tour Eiffel et nombreux furent ses supporters qui vinrent lui souhaiter une bonne retraite. Il mourut le 5 Novembre 1991 d’une crise cardiaque. Un film sur Jappeloup avec Guillaume Canet est sorti en 2013. Avec Milton ils sont les chevaux qui ont marqué l’histoire du CSO ! Les chevaux sont le fondement de notre sport, qu’ils soient alezans, bais, noirs, gris, pies ou encore appaloosas, ils sont tous particuliers. Mais certains sont plus particuliers que d’autres ! Crédit photo à la une Montage par Pauline Bach, Clio20 pour Commons Wikimedia / Arnaudettes pour Commons Wikimedia / Sotheby’s pour Commons Wikimedia / 222fjb pour Commons Wikimedia / Commons Wikimedia / Seabiscuit Heritage Foundation pour Commons WikimediaDu 17 août au 19 août, les célèbres ventes de yearlings de Deauville vont réunir la crème de l’élevage des chevaux de course. Aujourd’hui être propriétaire d’un cheval de course n’est plus réservé aux grandes fortunes. Plusieurs formules d’achat existent à partir de quelques dizaines d’euros. Mettre les pieds sur un champ de course, c’est entrer dans un tourbillon de couleurs et de ferveur où chevaux, jockeys, propriétaires, entraîneurs, et curieux vibrent durant quelques secondes pour la même chose voir leur cheval franchir en tête la ligne d’arrivée. Etre propriétaire d’un cheval de course devient de plus accessible et grand public. À partir de quelques milliers d’euros, vous pouvez vous aussi avoir votre place dans la tribune des propriétaires. Plusieurs formules vous le permettent, mais aucune n'est sans risques... Achetez ou louez seul un cheval de course La solution qui vient tout de suite à l’esprit serait de posséder votre cheval, qui prendra le départ sous vos couleurs et sous votre nom. Vous en retirerez alors toute la gloire et en contrepartie, vous en assurerez tous les frais. Pour avoir accès aux stalles de départ, il faut montrer patte blanche. Vous devrez justifier de revenus suffisants auprès de France Galop ou du Cheval Français, structures officielles des courses. Si assurer seul les risques de cet achat ne vous tente pas, il existe d’autres solutions moins coûteuses. Vous pouvez par exemple louer un cheval, seul ou à plusieurs. Une manière plus douce d’entrer dans ce milieu, car vous devenez le locataire unique ou colocataire d’un cheval qui est déjà dans le circuit, et qui va courir sous vos couleurs. Vous gérez et financez sa carrière, et percevez une partie des gains. Vous versez 5 à 10% des gains au propriétaire. Cette solution est moins coûteuse que l’achat individuel, mais exige un engagement certain de votre part. Pensez à la copropriété pour réduire les dépenses Pour attirer de nouveaux propriétaires et en même temps dynamiser et protéger les races chevalines françaises, plusieurs solutions d’achat groupé ont été imaginées. Ces formules allègent le coût de votre passion. Vous pouvez ainsi entrer dans une association de copropriétaires. Le nombre des participants est limité à six pour le galop, dix pour les trotteurs. Tous les membres doivent être agréés par l’une des sociétés de courses et donc justifier de revenus suffisants. Vous devrez vous occuper collégialement de la carrière de votre protégé. Autre solution devenir membre d’une écurie de groupe en achetant des parts. Très en vogue, cette formule est l’une des moins onéreuses et des moins chronophages. Vous devenez copropriétaire d’un ou de plusieurs pur-sang ou trotteurs pour une durée déterminée ou indéterminée. Vous ne vous occupez de rien, car votre participation financière couvre l’achat et la pension, l’entrainement, les frais d’engagement... Un cheval de course clés en main, en quelque sorte. Choisissez votre monture Pour l’achat, sauf si vous êtes déjà connaisseur ou si vous aimez les risques, il vaut mieux vous faire assister par un entraîneur ou un courtier. Ils vous conseilleront et joueront les intermédiaires auprès des propriétaires, des éleveurs et des maisons de vente. Plusieurs solutions se présentent à vous. Vous pouvez acheter un cheval qui a déjà de l’expérience directement sur le champ de courses. Dans le jargon, on les appelle les chevaux à réclamer ». Ils sont signalés lors des épreuves et le prix de vente figure sur le programme des courses. Il suffit de faire une offre écrite après l’épreuve et de la déposer. Le plus offrant l’emporte. Les prix varient de à euros, selon le palmarès. Les plus audacieux préféreront l’achat d’un yearling, c’est-à -dire un poulain de moins de deux ans à l’aube de sa carrière. Un excellent yearling coûte entre et euros. Les jeunes trotteurs, eux, sont 30 à 50 % moins chers. Beaucoup plus abordables, les parts dans une écurie démarrent à 40 euros pour entrer dans l’Ecurie Helios, 762 euros pour devenir membre du Club des étoiles. Gains et dépenses L’an dernier, courses de galop ont été disputées et 258 millions d’allocations ont été distribués, soit une moyenne de euros par course. Tous les espoirs sont donc permis. Si votre cheval passe la ligne d’arrivée en premier, vous recevrez une allocation et une prime. L’allocation est versée aux cinq premiers arrivants d’une course le premier reçoit 50% de la somme, le second 20%, le troisième 15% et les deux suivants 10%. À cela s’ajoutent les primes versées, aux propriétaires de chevaux de plats, nés et élevés en France qui ont touché une allocation» précise-t-on chez France Galop. Le montant varie en fonction de l’âge du cheval 60% du montant de l’allocation pour les 2 et 3 ans, 45% pour les 4 et 5 ans, 35% pour les 6 ans et plus. France Galop retient sur ces sommes les frais dûs à l’entraîneur, au jockey… Vous recevrez 75% des gains. Environ 40% des frais des propriétaires peuvent être couverts par ces gains, et les frais sont nombreux entrainement, soins vétérinaires, ferrures, pension, frais de courses… Prévoyez un budget de à par an et par cheval si vous achetez ou louez seul. Ils seront bien entendus divisez si vous vous regroupez pour vous lancer dans cette aventure. En revanche si vous achetez des parts dans une écurie, tous les frais sont couverts par les participations de tous les membres. Il ne vous reste maintenant qu’à choisir les couleurs de votre casaque et à encourager votre cheval et son jockey.
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