AnnaKarina. Muse absolue de Jean-Luc Godard, avec qui elle a tourné 7 films, l'actrice d'origine danoise est indissociable de la Nouvelle Vague. Anna Karina a mené sa carrière
Plus de cinquante ans après sa sortie, Le Mépris reste l’un des films clés de l’oeuvre de Jean-Luc Godard et sans doute le rôle le plus marquant de la carrière de Brigitte Bardot. Tous les éléments étaient réunis pour en faire un film culte, détaillés dans sa célèbre bande annonce La femme, l’homme, l’Italie, le cinéma, avec Brigitte Bardot et Michel Piccoli, l’Afla Romeo, la statue grecque, le revolver, … la gifle, la chambre à coucher, le baiser… ». Le Mépris raconte l’effondrement du couple formé par Paul Michel Piccoli, un scénariste chargé de terminer l’écriture d’une adaptation d’Ulysse préparée par le réalisateur Fritz Lang dans son propre rôle, et de sa femme Camille Brigitte Bardot. Lorsque Paul pousse cette dernière à monter seule à bord de la voiture d’un acteur le temps d’un trajet, Camille y voit une preuve que son mari cherche à faire d’elle un objet de désir pour vanter son égo. Et le mépris s’installe. Un film qui parle d’amour et de malentendu, mais également de cinéma et d’image, où Bardot et Piccoli ont bien failli ne jamais apparaître. Frank Sinatra et Kim Novak étaient en effet pressentis pour jouer Paul et Camille. Après un désistement de Sinatra, Carlo Ponti, l’un des producteurs du film, propose Marcello Mastroianni ainsi que Sophia Loren, avec qui il est marié. Ce sont finalement les acteurs français qui assureront les rôles de ce film à grand budget dont le cachet de Brigitte Bardot représentait quasiment la moitié, une co-production internationale qui va avec son lot de contraintes une fois le montage du film terminé, le producteur Sam Levine aurait sommé Jean-Luc Godard d’y ajouter des scènes de nu, déclarant Non, non, ça ne va pas, je veux voir le cul de Bardot. », pour attirer le public. Une injonction qui donnera lieu à la réplique la plus célèbre du film, la fameuse Et mes fesses, tu les aimes mes fesses ? » Une histoire moderne sur fond de tragédie grecque, portée par la froideur de Bardot, le décor sublime de la villa Malaparte et la bande originale signée Georges DelerueLes films Le Mépris sorti en 1963 et Masculin féminin sorti en 1966
Dansune conversation avec le Festival International du film de Quelques perles de Godard: Le Mépris (1963) avec Brigitte Bardot et Michel Piccoli. Vidéo: YouTube/BFI. A bout de souffleQuand le cinéma se regarde le nombril, le bel exemple du Festival de Cannes 2016 avec "Café Society" et "Ma Loute" DR DR CINÉMA - “Je ne veux parler que de cinéma, pourquoi parler d’autre chose? Avec le cinéma on parle de tout, on arrive à tout”. Cette phrase de Jean-Luc Godard aurait pu être prononcée par bon nombre de cinéastes tant ils s'intéressent à cet art. Le Festival de Cannes qui s'ouvre ce 11 mai fait lui aussi la part belle à ce thème. Des réalisateurs y rencontrent des acteurs, qui discutent avec des scénaristes, qui parlent de films, qui parlent de cinéma. Une sacrée mise en abyme. Seulement, si le HuffPost choisit de la mettre en exergue, c’est que cette obsession est bien présente sur la Croisette pour cette 69e édition. En 2016, c'est d'abord avec son affiche , que le Festival de Cannes rend hommage à la création des frères Lumière, en capturant une scène du film Le Mépris de Jean-Luc Godard, sur laquelle on peut découvrir Michel Piccoli, de dos, montant les marches de la villa Malaparte. Dès le choix de son affiche, le Festival fait un clin d’œil aux célèbres marches du palais, au réalisateur et au monde du cinéma dont parle "Le Mépris". “Tout est là . Les marches, la mer, l’horizon l’ascension d’un homme vers son rêve, dans la chaleur d’une lumière méditerranéenne qui se change en or. [...] Un choix symbolique, tant ce film sur le tournage d’un film, considéré par beaucoup comme l’un des plus beaux jamais réalisés en cinémascope, a marqué l’histoire du cinéma et de la cinéphilie. [...] À la veille de son 70e anniversaire, en choisissant de s’afficher sous l’emblème de ce film à la fois palimpseste et manifeste, le festival renouvelle son engagement fondateur rendre hommage aux créateurs, célébrer l’histoire du cinéma et accueillir de nouvelles façons de regarder le monde”, expliquait le Festival lors de la présentation de l’affiche. Vive le cinéma! Mercredi, c’est le dernier film de Woody Allen, Café Society qui ouvre cette 69e édition. En habitué du genre, le cinéaste a créé un film sur le Hollywood des années 30. Le pitch est simple comme étouffé chez lui à New York, Bobby Dorfman décide de tenter sa chance dans cet eldorado où son oncle, puissant agent de stars, l'engage comme coursier. Le tout sur fond d’histoire d’amour. Avant lui, d’autres ont présenté à Cannes des films traitant du monde du cinéma. À commencer par des réalisateurs de renom comme François Truffaut et sa Nuit Américaine en 1973, les frères Coen et leur Barton Frink qui arracha la palme d’or en 1991, Tim Burton avec Ed Wood en 1995 ou encore Michel Hazanavicius et The Artist en 2011. Chez eux, ce monde est abordé sans détour mais, certains cinéastes choisissent la métaphore pour aborder ce thème comme le fait cette année Bruno Dumont en présentant son film Ma Loute, sorte d'ovni burlesque de la compétition. Auréliano Tonet, responsable de la culture au journal Le Monde explique que “Le milieu du cinéma est assez consanguin. C’est d’ailleurs le sujet de Ma Loute qui parle de la consanguinité à l’intérieur du petit milieu bourgeois du cinéma français, de manière métaphorique”. Son analyse signale la mise en avant, par un réalisateur, d'un travers de cette "grand famille". Voici ce que le réalisateur de la série "Le petit Quinquin" dénonce avec un film porté par Lucchini dont on entendra beaucoup parler lors de cette Quinzaine. Je t’aime moi non plus S'il y a une chose qui est dénoncée régulièrement par les cinéastes qui s'y intéressent, ce sont bien les faux-semblants. Le plus direct a été François Truffaut dans La Nuit Américaine, présenté à Cannes en 1973. “Qu'est-ce que c'est que ce cinéma? Qu'est-ce que c'est que ce métier où tout le monde couche avec tout le monde? Où tout le monde se tutoie, où tout le monde ment. Mais qu'est-ce que c'est? Vous trouvez ça normal?”, s’exclame la femme d’un des personnages. Avec ces quelques mots, le réalisateur de la Nouvelle Vague a fait passer son message. Selon lui, le cinéma est “une unanimité de façade, un univers de faux-semblants où on passe son temps à s'embrasser”. D'autres créateurs de films préfèrent appuyer sur un fait en particulier comme l'a fait à différentes reprises Billy Wilder. Dans Boulevard du crépuscule, par exemple, il raconte l'histoire d'une star déchue du cinéma, un thème qu'il aborda également avec Fedora présenté à Cannes en 1978. Le cinéma devient alors outil de dénonciation, son essence même ou l'une d'entre elles. Et il semblerait bien que s’intéresser à son propre cas soit assez sain. Au delà de l'aspect égocentrique, il se remet en question, pour son plus grand bien. » Retrouvez la sélection officielle de Cannes 2016 dans le diaporama ci-dessous American Honey - De la Britannique Andrea Arnold, avec Shia LaBeouf. La réalisatrice de "Red Road" et "Fish Tank" prix du jury à Cannes en 2006 et 2009, y conte l'histoire d'un jeune homme qui rejoint l'équipe commerciale d'un magazine et découvre une vie de beuveries et de sexe. Aquarius - Du Brésilien Kleber Mendonça Filho, avec Sonia Braga raconte la vie de Clara, une critique musicale à la retraite. Elle vit dans l'immeuble "Aquarius" et possède le pouvoir de voyager dans le temps. Baccalauréat - Du Roumain Cristian Mungiu. Nouveau drame familial du réalisateur de "4 mois, 3 semaines, 2 jours", Palme d'or 2007. Elle - Du néerlandais Paul Verhoeven "Robocop", "Basic Instinct" avec Isabelle Huppert, Laurent Laffite et Virginie Efira. Adapté du roman "Oh..." de Philippe Djian, il raconte l'histoire d'une femme d'affaires qui voit sa vie basculer quand elle est agressée chez elle par un inconnu. Julieta - De l'Espagnol Pedro Almodovar, avec Emma Suarez et Adriana Ugarte, relate l'histoire d'une femme dont la fille disparaît pendant une décennie. Julieta est filmée à deux périodes de sa vie, à 30 et 50 ans. Juste la fin du monde - Du Canadien Xavier Dolan, avec Marion Cotillard, Vincent Cassel, Léa Seydoux, Nathalie Baye, Gaspard Ulliel est un drame familial adapté d'une pièce de Jean-Luc Lagarce. La fille inconnue - Des frères Jean-Pierre et Luc Dardenne, avec Adèle Haenel et Olivier Gourmet. Le nouveau film des réalisateurs belges, déjà deux fois lauréats de la Palme d'or, porte sur une jeune médecin qui se sent coupable de ne pas avoir ouvert sa porte à une jeune fille retrouvée morte. Le client - De Asghar Farhadi. Contraints de quitter leur appartement du centre de Téhéran en raison d'importants travaux menaçant l'immeuble, Emad et Rana emménagent dans un nouveau logement. Un incident en rapport avec l’ancienne locataire va bouleverser la vie du jeune couple. Loving - De Jeff Nichols, avec son acteur fétiche Michael Shannon. Le réalisateur américain de "Mud" en compétition à Cannes en 2012 raconte l'histoire d'un couple mixte confronté au racisme en Virginie dans les années 50. Ma Loute - De Bruno Dumont un thriller burlesque sur les plages du Nord dans la veine du "P'tit Quinquin", avec Fabrice Luchini, Juliette Binoche et Valeria Bruni-Tedeschi. Ma' Rosa - De Brillante Mendoza, nouveau film de ce réalisateur philippin dont plusieurs oeuvres ont été montrées en compétition à Cannes "Serbis" en 2008 et "Kinatay", Prix de la mise en scène en 2009. Mademoiselle - Du Sud-coréen Park Chan-Wook, Grand prix à Cannes en 2004 pour "Old Boy". Histoire d'une riche héritière, un escroc et une jeune servante dans la Corée et le Japon des années 1930. Mal de pierre - De la Française Nicole Garcia, avec Marion Cotillard et Louis Garrel, est l'adaptation du roman de l'Italienne Milena Agus 2006, histoire d'une femme qui cherche l'amour absolu après la Seconde guerre mondiale. Moi, Daniel Blake - De Ken Loach. Nouvelle chronique sociale du Britannique de 79 ans dans les faubourgs de Newcastle Daniel Blake, un menuisier, doit chercher un emploi bien qu'il souffre de problèmes cardiaques. Il va rencontrer Rachel, une mère célibataire. Paterson - De Jim Jarmusch avec Adam Driver en chauffeur de bus à Paterson dans le New Jersey, poète à ses heures, et l'Iranienne Golshifteh Farahani. Personal Shopper - Du Français Olivier Assayas avec Kristen Stewart, se passe dans le milieu de la mode. Maureen, jeune américaine à Paris gagne sa vie comme "personal shopper" pour une célébrité. Elle communique aussi avec les esprits... Rester vertical - Du Français Alain Guiraudie. Le réalisateur de "L'Inconnu du lac" suit les errances d'un cinéaste en panne d'inspiration et en mal de paternité à travers la France. Sieranevada - Du Roumain Cristi Puiu exploite les rancoeurs des liens familiaux. Situé principalement à Bucarest, le film montre un brillant neurologiste qui se rend chez sa mère pour participer à une commémoration en l'honneur de son père décédé. The Last Face - De Sean Penn, avec Charlize Theron, Javier Bardem et Adèle Exarchopoulos, est une romance sur fond d'humanitaire une médecin, qui travaille en Afrique, tombe amoureuse d'un collègue. The Neon Demon - Du danois Nicolas Winding Refn "Drive", avec Elle Fanning et Keanu Reeves. Une jeune fille se rend à Los Angeles pour devenir mannequin et devient l'objet du désir de femmes obsédées par sa beauté. Toni Erdmann - De l'Allemande Maren Ade un père rend visite à sa fille installée à l'étranger sans la prévenir. Il pense qu'elle a perdu son sens de l'humour et décide de la provoquer en multipliant les farces. 1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 11 12 13 14 15 16 17 18 19 20 21 21 American Honey - De la Britannique Andrea Arnold, avec Shia LaBeouf. La réalisatrice de "Red Road" et "Fish Tank" prix du jury à Cannes en 2006 et 2009, y conte l'histoire d'un jeune homme qui rejoint l'équipe commerciale d'un magazine et découvre une vie de beuveries et de sexe. » À voir également sur Le HuffPost Filmde Godard avec Bardot et Piccoli Solution . L E M E P R I S. Variété De Thym Sauvage. Au Moyen Âge Armure Complète Du Chevalier . CodyCross Faune Et Flore Groupe 179. 19 novembre 2013 adminvlb / / 0 Commentaire Visité 12 fois, 1 visites aujourd'hui Le mépris Laisser un commentaire Votre nom * Votre email * Votre wite Web Enregistrer mon nom, mon e-mail et mon site web dans le navigateur pour mon prochain commentaire. Ce site utilise Akismet pour réduire les indésirables. En savoir plus sur comment les données de vos commentaires sont utilisées. En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l’utilisation de cookies pour nous permettre de réaliser des statistiques de En savoir plus Bardotet Piccoli essaient de recoller les morceaux, sur le toit de la magnifique Villa Malaparte, à Capri, Italie, un des décors hors-du-commun du “Mépris”. Mais même s’il voue son film à son premier amour, Godard n’en oublie pas pour autant son second : le Cinéma. Film méta-cinématographique par excellence, Le Mépris est un chant d’amour à l’art que
Jacques Rozier France / 1963 / 8 min Avec Brigitte Bardot, Jean-Luc Godard, Fritz Lang, Jack Palance. Mai 1963 Jean-Luc Godard, son équipe, ses deux vedettes – Brigitte Bardot et Michel Piccoli – arrivent à Capri pour y tourner des scènes du Mépris dans le cadre spectaculaire, entre mer et rochers, de la villa Malaparte. Numérisation 4K et restauration 2K réalisée au laboratoire Hiventy à partir du marron et du négatif son. Film restauré par Jacques Rozier et la Cinémathèque française avec le soutien du CNC, en collaboration avec la Cinémathèque suisse, l'Institut audiovisuel de Monaco et Extérieur nuit. Avec Michel Piccoli, Brigitte Bardot a joué. Mais on ne verra jamais ce plan. » Jacques Rozier
Difficilede trouver des chiffres fiables (on parle de 380000 entrĂ©es en France), mais une chose semble sĂ»re: Ă sa sortie, en dĂ©cembre 1963, Le mĂ©pris est un succès Ă l’échelle de Godard, un Ă©chec Ă celle de Bardot. N’empĂŞche que tous deux signent ici leur meilleur film. A un journaliste qui lui demandait, au moment de prĂ©senter le projet si Bardot avait dĂ©jĂ
News Bandes-annonces Casting Critiques spectateurs Critiques presse VOD Blu-Ray, DVD Spectateurs 3,5 4855 notes dont 257 critiques noter de voirRédiger ma critique Synopsis Scénariste à succès, Paul Javal travaille à une adaptation de "L'Odyssée", qui doit être tournée par Fritz Lang. Il remarque que Lang est en désaccord avec Prokosch, le producteur américain. Ce dernier voudrait financer un film épique alors que le réalisateur souhaite faire un film psychologique.. . Regarder ce film Acheter ou louer sur CANAL VOD Filmo Achat dès 7,99 € HD VIVA Achat dès 9,99 € HD UniversCiné Location dès 3,99 € HD LaCinetek Location dès 2,00 € Voir toutes les offres VODService proposé par Voir toutes les offres DVD BLU-RAY Bande-annonce 233 Interviews, making-of et extraits 232 259 Dernières news 18 news sur ce film Acteurs et actrices Casting complet et équipe technique Critiques Spectateurs Le Mépris est typiquement le genre de film que je n'aime pas. Encore un film soi-disant culte dont je me demande s'il ne s'est pas limite auto-proclamé culte tellement le film est masturbatoire. L'histoire est ennuyeuse à mourir, d'ailleurs je ne sais pas si on peut vraiment dire que le film a une histoire. C'est le cinéma qui filme le cinéma, c'est du pur onanisme. Les dialogues bien pompeux et pseudo-philosophiques alors qu'en ... Lire plus Jean-Luc Godart... Je déteste ce type. Et plus ça va, plus je me rends compte que j'ai les même sentiments à l'égard de son cinéma. Godart c'est le genre de mec qui méprise clairement son public il fait des films sans rien avoir à faire du reste, en se disant que c'est lui le génie, qu'il n'a pas à se remettre en question, que si vous n'appréciez pas le cinéma de monsieur alors c'est vous qui ne comprenez rien... Et je dis ça parce ... Lire plus Bardot, lascivement couchée sur son lit, fesses en l'air, corps de Vénus, front d'albâtre, et océan de blondeur, dit à son mari Piccoli l'écrivain Paul Javal "Comment tu trouves mes cuisses, mon visage, mes seins? Préfères-tu mes seins ou la pointe de mes seins?" Voilà comment commence Le Mépris, adaptation ratée du roman d'Alberto Moravia du même nom, et datant pourtant de la période la plus féconde artistiquement de JLG. ... Lire plus D'un ennui ! Hallucinant. Godard n'est vraiment pas ma tasse de thé... 257 Critiques Spectateurs Photo Secrets de tournage Un film plus commercial Quand Jean-Luc Godard rencontre ses producteurs du Mépris, il leur promet qu'avec cette adaptation d'un roman d'Alberto Moravia, il tournera un film plus commercial que ses précédents essais. Il bénéficie pour cela d'un plus gros budget que d'habitude à savoir 500 millions de francs soit dix fois plus que pour A bout de souffle. Le cinéaste demande à tourner avec Frank Sinatra et Kim Novak mais les producteurs lui conseillent plutôt d'engager Mar Lire plus Filmer la vérité Dans un numéro des Cahiers du cinéma sorti en 1963, Jean-Luc Godard déclarait à propos de son nouveau film "Le mépris m'apparaît comme l'histoire de naufragés du monde occidental, de rescapés du naufrage de la modernité, qui abordent un jour, à l'image des héros de Jules Verne et de Robert Louis Stevenson, sur une île déserte et mystérieuse, dont le mystère est inexorablement l'absence de mystère, c'est-à -dire la vérité."Le cinéaste ajoutait ég Lire plus Les producteurs Le Mépris a été financé par trois grands producteurs des années soixante Carlo Ponti, Georges de Beauregard et Joseph E. Levine, non crédité au générique. Les deux premiers ont soutenu les débuts de la nouvelle vague. Carlo Ponti a ainsi collaboré au financement de Lola de Jacques Demy, Une femme est une femme et Les Carabiniers de Jean-Luc Godard ainsi que L' Oeil de Vichy et Landru de Claude Chabrol. Il s'éloigne de ses jeunes cinéastes après Lire plus 17 Secrets de tournage Infos techniques Nationalités Italie, France Distributeur Carlotta Films Année de production 1963 Date de sortie DVD 07/05/2007 Date de sortie Blu-ray 03/11/2009 Date de sortie VOD 24/08/2011 Type de film Long-métrage Secrets de tournage 17 anecdotes Budget US$ 900 mil Date de reprise 20/11/2013 Langues Français, Anglais, Italien Format production - Couleur Couleur Format audio - Format de projection - N° de Visa 27515 Si vous aimez ce film, vous pourriez aimer ... Commentaires . 183 463 119 58 345 354 77 469